MUSIQUe

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NOUVEL ALBUM : GET TO IT

Mon album est maintenant en ligne! Écoutez-le sur ces plateformes

Je vous invite à découvrir et à partager ces premières chansons, issues de l’album.

Dancing Fool

Je me souviens le jour où mes parents ont acheté notre premier téléviseur. J'avais 8 ans. Nous vivions à Roberval, au Lac St-Jean. Nous n’avions qu’une petite table tournante et une humble collection de disque vinyle… Glen Miller, bossa, tango, cha-cha et quelques chanteurs québécois classiques de l'époque.

Mon amour pour la danse est profond. Le corps qui bouge avec liberté complète. Sans jugements, sans vanité… on s’envole! Cette chanson est ça!

Du confort de nos chez nous, distance sociale absolue, magasinage en ligne, chorégraphier avec des vieux films noir et blanc, Hugh John Murray et moi avons concocté cette vidéo qui j’espère vous fera rigoler … et vous donnera le goût de danser.

 Dance Me to the End of Love

En attendant l’arrivée de mon album, je suis très excitée de partager avec vous ce nouveau vidéoclip de Dance me to the end of love

 Voici mon hommage à Leonard Cohen.

 Mes filles ont toujours adoré écouter sa musique depuis leur enfance. Une de leurs chansons préférées était Dance Me to the End of Love. Le 10 novembre 2016, je venais de sortir de scène après avoir joué un concert avec Manteca, quand arrivés à nos loges, le régisseur nous annonce le décès de Leonard. C'était une sensation si étrange, l'exaltation d'après-concert et une si profonde tristesse.

 Cette vidéo a été tournée à Manhattan et sur le Long Island Sound par ma merveilleuse réalisatrice Cecile Delepierre. @DOLLKILLERFILM

Mother’s Little Helper

Pourquoi cette chanson? Il y a quelques années, dans le cadre de soirées cabaret, j'ai chanté quelques chansons des Rolling Stones et celle-ci est restée. Écrite par Mick et Keith en 1965, les paroles parlent d'une «petite pilule jaune», souvent considérée comme une référence à la Valium. Les femmes étaient confrontées à la discrimination avec moins d'opportunités… moins de salaire… il n'est pas difficile de comprendre pourquoi une petite pilule jaune pourrait être une alternative intéressante. Aujourd'hui, mon point de vue est différent : prendre soin de moi et cultiver la joie est la seule drogue don't j’ai besoin.

C'est ma prescription.  

Une artiste époustouflante et fascinante, avec une grande voix audacieuse.
— Marina Sturdz, The Globe and Mail

PREMIER ALBUM : BREAK ‘N ENTER

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Break ‘n Enter. Foncer et entrer dans le monde de l’enregistrement. Quoi? Qui? Moi? La vie a d’excellent moyen de vous pousser dans une direction où vous n'auriez jamais pensé aller. Après chacun de mes concerts réguliers au club de jazz «Gate 403» à Toronto, les gens me demandaient si j'avais un album à vendre? Vous vous souvenez des CDs? Du temps où on en achetait?

Mon producteur John Evans et moi sommes entrés en studio avec l'exceptionnel directeur musical Scott Marshall et derrière la console, les oreilles magiques de l’ingénieur Jim Morgan où nous avons créé un projet ancré dans le cabaret avec un style euro-jazz.

En cette ère d'Internet, le symbole du temps perdu c’est de « regarder des vidéos de chats sur YouTube ». Et bien, ayant passé une partie de ma vie à ronronner, à quatre pattes, à me lécher les moustaches (production canadienne originale de Cats, 1985),  cela m’indigne un peu. Voici la vidéo d'une chanson que j’ai co-écrite avec John Evans et Wes Neal de mon premier album Break ’n Enter.Nous avons tourné cette vidéo 16 ans après la sortie de l’album.

Le tournage, la réalisation et le montage est de Cécile Delepière de DOLLKILLERFILM. 

Merci à tous les félins talentueux, vous me faites ronronner. 

Qui ne voudrait pas être dans une vidéo de chat?

Sax: Scott Marshall, Piano: Marcel Aucoin, Batterie: Steve Heathcote, Contrebass: Wes Neal

En 2020, ce groupe a célébré son 41ème anniversaire et la sortie de son 13ème album. En 41 ans, ils ont fait danser beaucoup de gens, y compris moi. Confession, le leader est mon partenaire adoré. Un jour, il m’a entendu chanter une de leurs compositions sous la douche. Il m’a alors demandé si je serais intéressée à me joindre à eux, ce fut un honneur profond. Non seulement ils ne cherchaient pas de vocaliste, mais ça faisait des années que leur maison de disques les suppliait d’en ajouter une. En tant que groupe instrumental, incorporer une voix était la dernière chose qu’ils voulaient. Continuez à chanter sous la douche... on ne sait jamais ce qui pourrait arriver.

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FRANGLAISE

Il mesure 6'5”, je l’appelle mon gentil géant. Il s’appelle Serafin. Il porte bien son nom, Serafin, l’ange qui chante. Et pour chanter, il chante! Avec ses cinq octaves, sa puissance et sa profonde vulnérabilité, je connais très peu de chanteurs comme lui. 

Nous avions des concerts les dimanches après-midi à l’hôtel Gladstone à Toronto accompagné d’un band de rebelles. Ironiquement, ça s’appelait un « Sunday Afternoon Tea » qui est vite devenu le rendez-vous mensuel pour les danseurs de swing. 

Ils apprenaient aux gens à danser …bébés, enfants, grands-mères, tantes et oncles, tout le monde y étaient! Ça « swingait » fort au Gladstone les dimanches!

Nous avons toujours aimé nous amuser avec le public... le gentil géant chanterait la partie soprano, la petite Québécoise chanterait le baryton. Un jour dans un duo de la chanson Les Feuilles mortes... il ne connaissait que les paroles en anglais, et moi qu’en Français, alors naturellement nous l’avons chanté en Franglish, et une sorte de magie s’est produite.

 

Des nouvelles qui valent la peine d'être entendues 🎶